La filière "vanille" ne se porte pas très bien à l'exportation : sur les 1.000 tonnes prévues à exporter, seulement moins du tiers est commercialisé pour le moment et pour les quantités expédiées, le rapatriement des devises peine à se faire.
Le blocage identifié porte sur la fixation du prix minimal à 27 dollars et l'obligation de mentionner ce prix sur les documents en douane. Or dans les faits, le marché impose un prix inférieur, et les opérateurs sont alors contraints, en cas de rapatriement des devises, de compléter la différence jusqu'aux 27 dollars déclarés.
Face à la situation, des opérateurs de la filière demandent la levée de l'arrêté ministériel stipulant la fixation des prix, demandes restées vaines jusqu'à maintenant.
L'Express de Madagascar, 15 décembre 2009
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Le blocage identifié porte sur la fixation du prix minimal à 27 dollars et l'obligation de mentionner ce prix sur les documents en douane. Or dans les faits, le marché impose un prix inférieur, et les opérateurs sont alors contraints, en cas de rapatriement des devises, de compléter la différence jusqu'aux 27 dollars déclarés.
Face à la situation, des opérateurs de la filière demandent la levée de l'arrêté ministériel stipulant la fixation des prix, demandes restées vaines jusqu'à maintenant.
L'Express de Madagascar, 15 décembre 2009
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