Le gouvernement du pays avait proposé que les populations locales détiennent 51% du capital des sociétés sous contrôle étranger. Les groupes de firmes minières ont, quant à elles, offert la possibilité que la population détienne 10% du capital, considérant la solution présentée par le gouvernement comme une menace pour leur opération.
Les Afriques, 22 février 2010
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