Les matières de premières nécessités commencent à se raréfier chez les grossistes. La suspension des livraisons par peur de se faire attaquer contraint les commerçants à aller chercher eux même leurs marchandises qui entraine un réajustement des prix. Les produits d'importations et les maisons de distributions sont aussi contraints à la fermeture. Les banques appliquent une semi-fermeture lors des journées "chaudes", ce qui contribue aussi à rendre difficile l'approvisionnement des commerçants.
L'Express de Madagascar, 6 février 2009
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