Parmi les candidats en lice pour racheter une part majoritaire dans cinq sucreries du Kenya, une compagnie mauricienne est en lice. Les autres investisseurs potentiels viennent du Brésil et de Turquie. Le gouvernement kenyan souhaite vendre 51% des actions dans chacune de ces cinq usines. Le processus de privatisation devrait lui permettre: d'effacer 580 millions d'USD de dette ou de les transformer en action; et de réduire les coûts de production d'au moins 30%, ce qui rendrait son sucre plus compétitif. Ces changements sont liés principalement au potentiel des usines qui n'est pas pleinnement utilisé ainsi qu'à la crainte de l'ouverture du marché du sucre au sein du COMESA en 2012.
L'Express de Maurice, 15 janvier 2010
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